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pour le plaisir, massages sensuels pour femme
11 juin 2009

Initiation

Initiation

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Partagez votre savoir. C’est une manière d’atteindre l’immortalité (Art de vivre du Dalaï Lama)

Nous les avons reçus, ma muse et moi, par une belle après midi de Mai. Il s’agit d’un couple charmant, que nous avions déjà rencontré par deux fois, et avec qui nous avons sympathisé. Libertins occasionnels, ils venaient cette fois ci avec deux objectifs. Le premier consistait à faire découvrir mon art à la dame. Cela faisait déjà un petit moment qu’elle me le réclamait et elle en avait vraiment envie. Leur second objectif était de pouvoir aborder un début d’initiation au massage sensuel pour couple.

J’ai donc commencé, comme prévu par faire un massage à Isa. La belle était un peu gênée de se retrouver nue devant trois personnes, mais j’avais devancé ses appréhensions en la couvrant dès le départ d’un voile pudique, léger compte tenu de la température déjà presque estivale, mais présent ce qui la rassurait. Conformément à son attente, je lui fis un massage de détente, très sage et sans aucune ambigüité.

Ce massage terminé, nous avons débouché la bouteille de délicieux muscat sec qu’ils avaient apporté et nous avons discuté autour d’un verre en allumant un feu, car la température baissait déjà avec la fin de l’après midi.

Puis, nous sommes passés à la deuxième partie du programme. C’était Isa qui voulait essayer, et comme ma muse avait aussi demandé à participer à cette petite introduction, c’est Pierre, son mari qui nous servit de modèle.
Il se déshabille et se couche sur le ventre. Les deux filles se positionnent à ses pieds, chacune devant une de ses jambes. L’ambiance était très détendue et quand je leur demandais quel type de massage elles voulaient aborder, elles me répondirent en cœur, avec un large sourire : « Un massage coquin bien sur ! ». Le ton était donné.
Pour moi, un massage, même s’il doit être coquin, n’en reste pas moins un massage, d’autant que Pierre qui exerce une activité physique attendait bien que l’utile se joigne à l’agréable.
Nous avons donc commencé par aborder les pieds, comme je le fais généralement, et les premiers essais passés, les demoiselles trouvèrent assez vite les gestes adaptés. Je les sentais curieuses, ouvertes et motivées. Après les pieds, elles abordèrent les jambes, en commençant bien sur par les mollets. Les mollets sont des muscles intéressants, car ils sont à la fois robustes, permettant des pressions affirmées, mais aussi très sensibles, ce qui fait qu’un faux mouvement peut rapidement devenir désagréable. Ainsi, elles pouvaient essayer différentes postures, et comparer leurs effets, à la fois sur le modèle, qui les guidait de son coté tout en ne se privant pas de les avertir lorsque le geste devenait désagréable. Et aussi sur elles mêmes. En effet, je travaille sur un matelas, au sol, et les positions qui en découlent demandent elles aussi un minimum d’apprentissage.
Après les mollets, viennent les cuisses, les fesses. Les filles prennent confiance en elles, et le toucher, d’abord hésitant s’affirme et se laisse déjà aller à quelques subtilités inspirées par la zone bien plus sensitivement réceptive.  Elles apprennent alors à maitriser leurs élans, à doser les effets, alternant les gestes qui apaisent, calment et ceux qui, au contraire sont plus sensuels. Passant de l’extérieur des cuisses, des hanches aux fesses et aux parties internes des jambes, elles prenaient un plaisir grandissant à expérimenter les alternances des effets produits. Toutes deux, de nature si pudique se laissaient progressivement aller, et ce, avec gourmandise, à des caresses de plus en plus suaves et intimes. Les mains, les doigts exploraient chaque repli de peau, s’insinuant tendrement dans le sillon inter-fessier, chatouillant le périnée, la zone péri anale, le scrotum. La détente de Pierre, se muait lentement en ravissement et, il fut alors temps de remonter vers le dos. Le dos représente une surface importante, qui chez un homme et plus particulièrement un travailleur physique comme lui présente une large musculature qui accumule bien des tensions. L’on dit souvent que chez la femme, l’essentiel du stress et des douleurs qui en découlent, se localise dans le ventre (et la plupart des femmes qui me lisent verront très bien de quoi je veux parler), et que chez l’homme,  ces tensions se localisent au niveau de dos, plus particulièrement dans les muscles dorsaux. Les filles apprirent donc à commencer par des caresses de reconnaissance, larges, apaisantes et légères. Elles découvrirent comment repérer, du bout des doigts les muscles noués, qui sont révélateur des tensions, pour ensuite, très progressivement intensifier les pressions. L’objectif de cette journée, n’étaient pas d’en faire des masseuses thérapeutique professionnelles, mais mêler le plaisir à une détente réelle en profondeur est une approche bien souvent délectable.
Je leur suggérais alors de se mettre toutes deux, torse nu, et de poursuivre ainsi leur apprentissage en intégrant progressivement de nouvelle partie de leur corps à leurs gestes. Les avant bras, les bras, le torse, la poitrine. Elles se lancèrent alors dans un ballet, où utilisant tout leur corps, toute leur grâce, elles purent parcourir, alternativement de manière synchrone ou complémentaire, l’ensemble du corps de Pierre, des chevilles jusqu’aux épaules. Les gestes profonds alternaient avec des caresses légères d’harmonisation. Les pressions ciblées des pouces étant complétés par des enveloppements très sensuels d’un corps chaud, doux, huilé. La caresses des seins qui remonte le long des jambes, passe sur les fesses pour parcourir le dos est une sensation hautement stimulante et délectable que Pierre savourait avec un plaisir évident.
Mais les filles ne comptaient pas en rester là, de plus le temps passe très vite dans ces moments où le corps s’abandonne. Le temps était donc venu de passer à la partie avant et Pierre fut invité à se retourner pour se mettre sur le dos.
Il devint évident, si quelqu’un en avait auparavant douté, que l’aspect sensuel de la prestation des filles n’avait pas été sans effet sur l’excitation de Pierre, il était donc nécessaire de faire un peu retomber la pression et de ne pas laisser ces gourmandes se jeter trop rapidement sur l’objet de leur convoitise…
Elles reprirent donc le travail des pieds et de la partie inférieure des jambes, découvrant tactilement la différence de sensibilité entre le mollet et le tibia, qui dépourvu de muscles, est beaucoup plus sensible et délicat. Mais l’impatience grandissait chez les demoiselles et elles voulurent bien vite aborder les cuisses. Elles s’installèrent alors de part et d’autre de Pierre, en tailleur, et chacune prit une jambe de Pierre posée sur ses cuisses. Elles avaient ainsi accès à une très large zone des muscles des cuisses de Pierre et de ses mollets. Elles purent expérimenter diverses approches et bien sur remonter progressivement vers les aines. L’effet ne se fit pas attendre chez le pauvre modèle aux prise avec ce délicieux supplice. Elles abordèrent enfin l’entre jambe, les bourses et le sexe gorgé de plaisir. Elles modifièrent leur positionnement, se mettant perpendiculairement à lui pour avoir une plus grande accessibilité de tout le corps et être plus à l’aise dans leurs mouvements. A ce stade, vu leur état d’excitation à tous les trois, et comme il s’agissait d’une toute première initiation, je décidais de ne pas poursuivre plus avant le coté didactique de l’expérience et les laissais improviser dans une superbe chorégraphie récréative, leur prodiguant juste de temps en temps quelque conseil sur une astuce particulière, un caresse spécifique ou une manipulation astucieusement intégrée à cet instant d’une sensualité électrique.
La suite serait délectable, malheureusement je ne peux vous la dire et c’est regrettable  car ça nous aurait fait fantasmer un peu. Mais l’intensité du moment demande à laisser l’imagination du lecteur poursuivre la suite du récit de ses deux heures de découverte.

Puis, Il leva les yeux, vu l’heure sur l’horloge et fit remarquer qu’il était déjà minuit. Eux qui étaient arrivés vers 17h pour pouvoir partir tôt, n’avaient pas vu le temps passer. Ils me confirmèrent quelques jours plus tard que cette expérience leur avait laissé un gout de : « Quand c’est qu’on recommence ? »

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Je prends plaisir à ces initiations qui sont autant de moments de partages, riches d’enseignements en toute simplicité et convivialité. Aussi, ayant de manière épisodique reçu plusieurs demandes en ce sens, j’ai décidé de formaliser un peu plus cet aspect de ma pratique en vous recevant un ou deux jours pour une découverte du massage en couple. Que vous soyez seule où accompagnée, si l’envie de faire cette démarche vous tente, j’organise à la demande ce genre de rencontre, adaptée à vos envies et à votre niveau, sans aucune obligation de votre part, en respectant toujours vos limites.
Ma capacité d’accueil ne me permet de recevoir qu’un maximum de deux ou trois couples en même temps pour l’instant, mais dans un esprit convivial, je peux vous recevoir, si la richesse qu’offre un minimum de pluralité vous convient, à plusieurs couples simultanément.

Je ne prends pas de demande d’hommes seuls pour ce type de démarche. Car il a trop de cas difficiles à gérer dans ces cas là et de plus j’ai déjà un réseau de modèles de confiance sur qui je peux compter en cas de besoin.

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Commentaires
P
concept hyper sympa.<br /> j'en parle a mon amie.<br /> patrice et sophie<br /> croisierenaturisme.centerblog.net
J
Ichi,<br /> C'est avec un immense plaisir que je retouve vos billets et que je me délecte de votre écriture.<br /> Celui intitulé "heureusement que le ridicule ne tue pas" relate une mésaventure qu'il vous a fallu, ainsi que votre muse, savoir gérer, mais je suis persuadé que ce type de situation, lorque les partenaires ne sont pas en phase, doit être somme toute très fréquent dans certains milieux ou le libertinage est vécu plus comme une "activité" à la mode que comme un art de vivre.<br /> D'ailleurs, pour essayer de vivre des fantasmes "par procuration" certains conjoints n'hésitent pas, grace à Internet c'est, malheureusement, très facile, à se faire passer pour "l'autre" et inévitablement, ce type d'attitude débouche très souvent sur un véritable gâchage, car les protoganistes, et les "victimes" peuvent avoir certaines difficultés à retrouver leur équilibre.<br /> Ces agissements sont difficiles à définir pour nous, nous qui vivons, mon épouse et moi même, en parfaite harmonie, car confiance et complicité nous semblent des vecteurs essentiels pour pouvoir tirer, sans aucune ambigüité, toute la quintessence de pratiques "polissonnes" communes. <br /> Cordialement.<br /> Jean
J
Ichi,<br /> C'est avec un immense plaisir que je retouve vos billets et que je me délecte de votre écriture.<br /> Celui intitulé "heureusement que le ridicule ne tue pas" relate une mésaventure qu'il vous a fallu savoir gérer, mais je suis persuadé que ce type de situation, lorque les partenaires ne sont pas en phase, doit être somme toute très fréquent dans les milieux libertins. <br /> Le mariage du fils d'Arielle s'set fort bien déroulé, et petit à petit nous reprenons un rythme de vie beaucoup plus serein (il était temps). <br /> Je ne manquerai, très prochainement, de vous adresser un courriel, et j'espère que nous saurons à moyen terme organiser une nouvelle rencontre (Arielle,aurait bien besoin, entre autre, d'un massage sensuel, massage dont vous avez le secret).<br /> Amitiés et bises à Melle X<br /> JM
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